PADÉ Henri 1863-1953

Henri Eugène PADÉ naît le 17 décembre 1863 à Abbeville (Somme). Il meurt le 9 juillet 1953 à Aix-en-Provence.

© Bibl. Lettres et Sc. humaines ENS

Fils de Jean Baptiste Domice PADÉ et de Joséphine Pétronille Éléonore THIÉBAULT, son épouse. Le père est né le 15 février 1821 à Cahon (Somme). Il est marchand de rouenneries. Il meurt le 25 avril 1879 à Abbeville. La mère est née le 27 septembre 1831 à Cahon. Elle meurt le 30 décembre 1890 à Abbeville. Ils se sont mariés le 21 février 1859 à Cahon. L’époux est alors garde de bois et l’épouse marchande de rouenneries.

Un frère et une sœur. Armand Léon Louis, né le 4 mars 1860 à Abbeville. Chimiste. Épouse Blanche Vassivière le 24 janvier 1901 à Caen. Notes et articles dans les CR de l’Académie (1889), le Bulletin de la Société chimique de Paris, etc. Jeanne Léonie, née le 22 septembre 1861 à Abbeville. Épouse Édouard Émile Bruxelles le 14 février 1887 à Abbeville. Décédée le 18 juillet 1888 en son domicile d’Abbeville ; elle et son époux sont alors marchands de nouveautés. L’époux est né le 20 ou le 21 (l’acte de naissance du 22 indique qu’il est né « hier 20 septembre ») septembre 1865 à Abbeville. En 1887, il est sans profession et son père est tailleur d’habits. Veuf, il se remarie le 14 juin 1892 à Paris (3e) avec Rachel Estelle Delahaye, née le 19 septembre 1868 à Vernon (Eure), employée de commerce ; il est alors représentant de commerce.

Mariage avec Céline Sainte-Foye Eugénie Émilie CAUDRON le 12 août 1893 à Abbeville. Elle est née le 15 janvier 1876 à Nouvion (Somme). Fille d’Eugène CAUDRON et d’Élise Sainte Foye Augustine Jeanne PANET. Décédée le 15 décembre 1955 à Aix-en-Provence. Le père est né le 14 décembre 1846 à Abbeville. Docteur en médecine (Des adénomes de l’utérus et de leur traitement, Paris 1873). Directeur du périodique Le Pilote de la Somme, il reprend bientôt l’exercice de la médecine. Adjoint au maire d’Abbeville. Membre de la Société d’émulation d’Abbeville (élu en 1888 ; nécrologie dans le Bulletin trimestriel 1900, 1 et 2). Décédé en janvier 1901 à Abbeville (déclaré le 14). Son père Jules Désiré Caudron est né le 22 octobre 1816 à Paris. Artiste peintre et professeur de dessin à Abbeville. Décédé le 18 décembre 1877 à Abbeville. La mère est née le 11 mars 1852 à Bois-Jean (Pas-de-Calais). Ils se sont mariés le 24 janvier 1875 à Abbeville.

Trois filles. Marcelle Céline, née le 9 mars 1895 à Lille. Épouse Georges Henri Waechter le 8 septembre 1919 à Dijon. Décédée le 22 novembre 1932 à Colombes. L’époux est né le 20 avril 1890 à Gérardmer. Ingénieur. Veuf, il se remarie avec Jeanne Marguerite Arbenz le 7 août 1933 à Paris (5e). Il meurt en 1945. Roland Brasseur – Dictionnaire des professeurs de mathématiques en classe de mathématiques spéciales – 7 novembre 2016

Juliette Éléonore, née le 26 avril 1896 à Abbeville. Bachelière (1913, Besançon). Épouse *** Dautremer. Décédée en 1984 (à un an près). Au moins un fils. Bernard Dautremer, né en 1922. Admis en 1941 à l’École spéciale militaire (alors à Aix-en-Provence). Général de brigade. Décédé en 2007 ( ?). Odette Jeanne Eugénie, née le 3 mai 1902 à Poitiers. Épouse Georges Henri Bonfils le 22 mai 1923 à Aix-en-Provence. Décédée le 4 février 1926 à Sète. L’époux est né le 24 avril 1895 à Collo (Algérie), où son père est brigadier forestier. Décédé le 28 mai 1948 à Alger.

Élève du collège d’Abbeville jusqu’en math élém (1880-81). Math élém : 1er prix d’excellence, de maths, de physique et chimie, de dessin graphique. Bachelier ès sciences le 18 juillet 1881 à Lille.

Élève de spéciales au lycée Saint-Louis en 1882-83. Classe d’É. Crétin (ENS 1861). Peut-être aussi en 1881-82. Pas candidat à l’ENS en 1882. Sur la liste des candidats de 1883 (Arch. nat., AJ61/22), on lit : « Bon 1e année, très doué, sera reçu à E.P. ». Et ailleurs : « élève de 2e année de maths spéciales. » IG Vacquant, février 1884 : « M. Crétin est chargé au lycée Saint-Louis de la 4e division de mathématiques spéciales et ne reçoit pas en général les meilleurs élèves. » Dans le palmarès 1883 de distribution des prix de cette spéciales D jugée peu brillante, Padé n’est cité qu’une fois : 8e accessit de maths.

Admis à l’ENS en 1883 (45e admissible, 19e au concours, 10e entrant sur 20). Reçu 93e à l’X.

Agrégé de mathématiques en 1886 (6e sur 13, 12e admissible sur 15, 76 candidats). Docteur ès sciences mathématiques le 21 juin 1892 à Paris : Sur la représentation approchée d’une fonction par des fonctions rationnelles. Jury : Hermite (président), Appell, Picard. Dédiée : « À Monsieur Hermite, membre de l’Institut. » Rapport d’Hermite : « […] L’étude de ces cas est faite avec le plus grand soin, un talent véritable et sans faire l’énumération des théorèmes obtenus par M. Padé, nous pouvons dire qu’il a complètement épuisé la question qu’il a traitée. Tout en pensant que la théorie des fractions continues pouvait se généraliser d’autres points de vue, ouvrant une voie plus intéressante, plus féconde, et que l’importance des résultats auxquels il est parvenu ne répond pas autant qu’on le désirerait à son long et consciencieux travail, M. Padé est digne de l’approbation de la faculté. […] »

Commentaire de Tannery sur ce rapport (lettre à un destinaire non identifié, dans F/17/24231) : « […] L’opinion générale – pour ma part je te communique celle d’Appell et de Goursat qui m’en ont parlé – est que le jugement que M. Hermite a exprimé oralement (et entre les lignes) était trop sévère. Elle s’explique par ce fait que M. Hermite est beaucoup moins indulgent pour les travaux qui se rapportent à des sujets qu’il possède entièrement qu’aux autres. Pour les premiers, il juge volontiers que tout ce qu’il aperçoit est facile, ce qui est assurément exagéré. »

Carrière Élève à l’ENS. À titre provisoire, professeur de maths au lycée de Limoges. À titre provisoire, professeur de maths au lycée de Carcassonne. Professeur de maths au lycée de Montpellier. Congé d’inactivité pour 1889-90.

07-08-1883 (entré le 01-11) 30-08-1886 21-10-1886 19-10-1887 30-08-1889

« Sur sa demande et pour raisons de santé », avec traitement de 100 francs. Sa demande est justifiée par le fait que le conseil municipal de Paris lui a accordé « une bourse de voyage pour me permettre de suivre, pendant un an, les cours d’une université allemande ». Il va étudier à Leipzig puis va suivre les cours de Félix Klein et d’Hermann Schwarz à Göttingen.

Congé d’inactivité sans traitement pour 1890-91.

03-12-1890

« Sur sa demande », sans traitement.

Professeur de maths au lycée de Poitiers. Professeur de maths (Cyr) au lycée de Lyon.

14-09-1891 11-12-1891

La classe de Cyr de Charruit est dédoublée en cours d’année. Padé a 32 élèves. IG Pruvost (juin 1892) : « Je crains que ce professeur ne se regarde comme déclassé dans l’enseignement secondaire. »

Professeur de math élém A au lycée de Lille.

24-08-1893 (emploi nouveau)

La classe est nommée l’année suivante math élém supérieures. Effectif ; 13, 12 (plus une classe de seconde), 7.

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IG Fernet (juin 1895) : « M. Padé me paraît être un des professeurs qui comprennent le mieux le but de cette classe, qui doit uniquement préparer à la classe de mathématiques spéciales, sans faire double emploi avec celle-ci. » Chargé en outre de faire en 1896-97 deux conférences de maths par semaine à la faculté des sciences de Lille. 30-07-1896

Jusqu’à la fin de l’année scolaire 1896-97, maître de conf de maths à la faculté des sciences de Lille. 16-01-1897 Il succède à Borel. Renouvelé chaque année scolaire de 1897-98 à 1900-01. À partir de 1898, il donne aussi des cours à l’Institut industriel du Nord (futur Centrale Lille).

Chargé pour 1901-02 du cours de mécanique rationnelle et appliquée à la faculté des sciences de Poitiers. 30-07-1901 De 1902 à 1905, il est examinateur d’entrée et de sortie à l’École navale.

Professeur de mécanique rationnelle et appliquée à ladite faculté. 05-06-1902 Professeur de mécanique à la faculté des sciences de Bordeaux. 28-07-1903 Sur sa demande. Effet à la date du 01-11-1903. Nommé pour 3 ans doyen de ladite faculté, le 07-12-1906. Doyen honoraire le 16-08-1908. Nommé en 1906 examinateur d’admission à Saint-Cyr à partir de 1906. Il le reste jusqu’en 1908.

Recteur de l’académie de Besançon.

05-11-1908

Devenu recteur, il cesse de publier.

Recteur de l’académie de Dijon. Recteur de l’académie d’Aix-Marseille.

29-09-1917 05-10-1922

En mars 1925, il est candidat à la direction de l’enseignement d’Indochine, qui dépend du ministère des Colonies.

Admis à la retraite à dater du 17 décembre 1933 (décret du 5 décembre). Il se retire à Aix-en-Provence, quartier de Béraud, villa « Les Charmettes ». Dreyfusard, signataire d’une pétition de protestation contre le procès intenté au lieutenant colonel Picquart. Elle est signée également par Léon Dautremer, né en 1861 à Woimbey (1861), ENS lettres 1882, alors maître de conférences de langue et littérature latines à la faculté des lettres de Lille, futur professeur de 4e puis de 3e à Louis-le-Grand de 1901 à 1921 (retraite), décédé en 1941, possible beau-père de Juliette Padé. Les premières signatures sont publiées dans L’Aurore le 26 novembre 1918. Celles de Padé et Dautremer sont publiées le 28 (en bas de la dernière colonne de la page 4 pour Padé, 1e colonne de la page 5 pour Dautremer).

Membre de la SMF de 1901 à 1918. Membre de la Société des sciences physiques et naturelles de Bordeaux. Élu en 1903 ou 1904.

Membre du Club Alpin et du Touring-Club de France. Publications. La thèse. Gauthier-Villars, 1892, 93 p. Et Annales scientifiques de l’ENS, 1892, p.3-92. Premières leçons d’algèbre élémentaire, Gauthier-Villars, 1892, 81 p. Préface de Jules Tannery, p.V-XVIII. Bulletin des sciences mathématiques (Bulletin de Darboux) « Sur l’irrationalité des nombres e et π » (extrait d’une lettre à Hermite), 1888, p.144-148 Analyse de Vorlesungen ueber die Theorie der elliptischen Modulfunctionen de Robert Fricke (Leipzig 1890, 764 p.), 1892, p.315-336. Analyse du Traité de physique de O-D Chwolson (Hermann, 1906, 407 + 202 p.), 1906, p.143-147. Annales scientifiques de l’ENS. « Sur les intégrales définies à limites indéfinies », 1889, p.349-354. « Mémoire sur les développements en fractions continues de la fonction exponentielle, pouvant servir d'introduction à la théorie des fractions continues algébriques », 1899, p.395-426. « Recherches nouvelles sur la distribution des fractions approchées d'une fonction », 1902, p.153189. « Recherches sur la convergence des développements en fractions continues d'une certaine catégorie de fonctions », 1907, p.341-400. « Sur la généralisation des formules de Sylvester relatives aux fonctions qui se présentent dans l'application du théorème de Sturm, et sur la convergence de la table des réduites d'une fraction rationnelle », 1907, p.519-534.

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CR des séances de l’Académie des sciences. Notes présentées par Picard (1890-1891 et 1905), Appell (1894-1904 sauf 1ère de 1901), Painlevé (1ère de 1901). « Sur la représentation approchée d’une fonction par des fractions rationnelles », t.111, 1890-2, p.674. « Sur les fractions continues régulières relatives à ex », t.112, 1891-1, p.712. « Sur la convergence des fractions continues simples », t.112, 1891-1, p.988. « Sur la possibilité de définir une fonction par une série entière divergente », t.116, 1893-1, p.686. « Sur la généralisation des fraction continues algébriques », t.118, 1894-1, p.848. « Sur la convergence des réduites de la fonction exponentielle, t.127, 1898-2, p.444. « Sur la généralisation des développements en fractions continues de la fonction (1 + x)m, donnés par Gauss et par Euler, t.129, 1899-2, p.753. « [Idem] de ceux donnés par Lagrange », t.129, 1899-2, p.875. « Sur la distribution des réduites anormales d’une fonction », t.130, 1900-1, p.102. « Sur l’extension des propriétés des réduites d’une fonction aux fractions d’interpolation de Cauchy », t.130, 1900-1, p.697. « Sur l’expression générale de la fraction rationnelle approchée de (1 + x)m », t.132, 1901-1, p.754. « Sur la fraction continue de Stieltjes, t.132, 1901-1, p.911 « Remarques sur une méthode pour l’étude de la convergence de certaines fractions continues », t.139, 1904-2, p.1023. « Sur la convergence de la table des réduites d’une fraction rationnelle », t.141, 1905-2, p.241. « Sur les réduites d’une certaine catégorie de fonctions », t.141, 1905-2, p.708. « Sur les développements en fractions continues de la fonction F (h, t, h’, u) et la généralisation de la théorie des fonctions sphériques », t.141, 1905-2, p.819. « Sur la convergence des fractions continues régulières de la fonction F (h, t, h’, u) et de ses dégénérescences », t.141, 1905-2, p.997. Le 5 novembre 1906 (t.143, p.667), deux plis cachetés se rapportant aux développements en fractions continues, déposés par Padé le 2 février et le 22 juin 1903, sont ouverts et envoyés, sur sa demande, à la commission du Grand prix des Sciences mathématiques. Ce grand prix lui est attribué en partie lors de la séance du 17 décembre 1906 : 1500 francs pour Padé, 1000 pour de Montessus, 500 pour Auric (t.143, p.1004). Journal de mathématiques pures et appliquées. (Journal de Liouville) « Sur la généralisation des fraction continues algébriques », 10, 1894, p.291-329. Acta Mathématica. « Sur les séries entières convergentes ou divergentes et les fractions continues rationnelles », t.18, 1894, p.97-111. Revue de mathématiques spéciales. « Note sur la formule e = lim (1 + 1/m)m », t.4, mai 1898, p.481-482. Nouvelles Annales de mathématiques. Analyse du Traité d’algèbre élémentaire de Cor et Riemann, 1898, p.139-143.   n=  1  », 1898, p.312-314. « Note sur la formule « Sur l’herpolhodie », 1903, p.289-297. « Sur la propriété de concavité de l'herpolhodie de Poinsot », 1906, p.303-307.

», 1907, p.249« Sur la réduction en fraction continue canonique de la fonction 255. L’Enseignement mathématique. « Note sur un point de la théorie de la fonction exponentielle et des logarithmes », 1901, p.118-120. CR du deuxième congrès international des mathématiciens (Paris, 1900), Gauthier-Villars, 1902. « Aperçu sur les développements récents de la théorie des fractions continues », p.257-264. PV des séances de la Société des sciences physiques et naturelles de Bordeaux. « Sur l’application de la formule d’intégration de Laplace au développement en fractions continues de la fonction exponentielle », 1903-04, p.104-105. « Sur les formules de Sylvester », 1904-05, p.24-25. « Sur un point de la théorie classique du pendule sphérique », 1904-05, p.31-33. « Sur la propriété de concavité de l’herpolhodie de Poinsot », 1905-06, p.75. « Sur deux passages du calcul différentiel et intégral d’A. de Morgan », 1906-07, p.66-68. « Sur une formule remarquable du calcul intégral », 1906-07, p.77. « Sur la règle de Kummer », 1907-08, p.108-109. Revue générale des sciences pures et appliquées. « Barré de Saint-Venant et les principes de la mécanique », 1904, p.761-767. Traductions de l’allemand. Félix Klein, « Considérations comparatives sur les recherches géométriques modernes », Ann. Sc. de l’ENS, 1891, p.87-102 et 173-199. Roland Brasseur – Dictionnaire des professeurs de mathématiques en classe de mathématiques spéciales – 7 novembre 2016

Sous-titre : « Programme publié à l’occasion de l’entrée à la Faculté de Philosophie et au Sénat de l’Université d’Erlangen, en 1872 ». Reproduction en fac-simile de cette traduction de Padé dans Le Programme d’Erlangen, Gauthier-Villars, 1974, XIV+72 p. Préface de Jean Dieudonné. Postface de François Russo, texte d’une conférence prononcée le 4 mai 1968 au Palais de la Découverte, précédemment parue sous le titre « Groupes et géométrie, la genèse du programme d'Erlangen de Félix Klein ». « Formules et propositions pour l'emploi des fonctions elliptiques. Première partie, contenant les feuilles 1-12, d'après des leçons et des notes manuscrites de M. K. Weierstrass », rédigées et publiées par M. H. A. Schwarz, traduit de l'allemand par Henri Padé, Gauthier-Villars, 1894, 96 p. Revue internationale de l’enseignement. Discours à la distribution des prix du lycée de Belfort, 1911, p.426-429. Discours aux obsèques de M. Perreau, 1916, p.389-392. François Perreau, 1868-1916, ENS 1888, professeur de physique et doyen de la faculté des sciences de Besançon.

Sources Dossier Henri Eugène Padé, F/17/24321, aux Archives nationales. Dossier Légion d’honneur (chevalier 1909, officier 1927) aux Archives nationales. « Padé Henri Eugène », in Jean-François Condette, Les recteurs d’académie en France de 1898 à 1940, tome II dictionnaire biographique, INRP, 2006, p.306-307. Henri Padé, Œuvres, rassemblées et présentées par Claude Brezinski, A. Blanchard, 1984, 456 p. « Documents sur la vie et l'oeuvre de Henri Padé », p.7-52. La vie – L’homme – Liste des publications – Rapport de Hermite sur la thèse de Padé – Analyse des travaux de Henri Padé publiées à l’époque – Rapport d’Émile Picard pour le Grand prix des sciences mathématiques (1906). Tous les écrits scientifiques à l’exception des Premières leçons d’algèbre élémentaire, sont reproduits dans l’ordre de publication.

Page « Henri Eugène Padé », dans Mac Tutor History of Mathematics, University of StAndrews. Les “References for Henri Padé” donnent, sur les approximants de Padé, des sources auxquelles je n’ai pas eu accès, en particulier plusieurs travaux de C. Brezinski.

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